Aslinn Nott

/// Mon personnage est : [Inventé] ///

I. Identité

Nom, Prénom(s) : Nott, Aslinn Tamir

Date de Naissance, Age : 18 janvier 1966

Lieu de Résidence : Londres

II. Informations Personnelles

Caractère (Qualités/Défauts/Gouts):

Belle, drôle, intelligente, sympa, on a tendance
à croire Aslinn parfaite. Et c'est un peu le cas... Ou du moins elle
fait tout pour l'être. C'est une jeune femme très ouverte, et toujours
prête à aider les autres. Elle ne fait pas de distinctions que ce soit
entre les maisons ou les sexes, si quelqu'un a besoin d'aide elle lui
tend la main et n'attend jamais rien en retour. Oreille attentive,
chacun vient instinctivement lui confier ses problèmes. Elle sait
exactement quand elle doit dire des mots de réconforts ou se taire,
quand elle peut se permettre certains gestes ou encore quand il faut
copieusement insulter le type qui a osé larguer sa copine. Pas devant
lui, hein... Non que se soit une personne fausse, au contraire elle dit
en général tout ce qu'elle pense aux autres, mais elle sait faire
preuve de tact et de diplomatie. Tact et diplomatie qui lui sont
souvent très utiles, surtout lorsqu'elle est amenée à être la
confidente des deux parties en cas de conflit. En général elle se fixe
comme règle de ne pas intervenir, mais quand elle y est obligée elle
s'y résout, en prenant garde toutefois de rester très subtile.
On
peut également qualifier Aslinn de jeune fille vertueuse. Ou du moins
elle incarne facilement les quatre vertus principales : courage,
tempérance, justice, prudence. Elle essaie également de se tenir un
maximum au code moral que lui ont inculqués ses parents. C'est sans
doute tout cela qui l'a directement conduite dans la maison d'Helga
Poufsouffle. Maison à laquelle elle s'est plutôt bien intégrée, une
fois qu'elle eut dépassé sa timidité pour laisser ressortir son
caractère jovial. Toujours de bonne humeur en public, elle aime rire et
sait raconter des blagues tout autant que faire de menues
plaisanteries. Elle a parfois du mal à faire le premier pas, mais fait
toujours en sorte d'avoir de bonnes relations avec chacun. De bonnes
relations, certes... Mais jamais elle n'a eu de meilleure amie, par
exemple. Peut être que la perfection fait peur, finalement... Ou alors
que c'est instinctif chez elle de faire en sorte de ne pas s'attacher
réellement pour ne pas souffrir encore. Mais en tous cas, Aslinn s'est
toujours dit à propos de ses camarades et amis qu'ils n'étaient en
aucun cas une raison de vivre. Ils étaient juste quelque chose qui
aidait à rendre la vie plus supportable.
Seulement voilà... On
aurait tort de la réduire à l'image que les autres ont d'elle et
qu'elle a des autres. Sa vie ne se résume pas à ses relations avec les
autres. Sa vie, c'est aussi son violon, qu'elle pratique plusieurs
heures par jour, la nature, dont elle refuse d'être vraiment séparée,
son travail, qu'elle apprécie, et ses souvenirs... Ses souvenirs de sa
mère, notamment, qui lui semble si présent qu'elle a l'impression
qu'ils l'engloutissent parfois. Et elle doit se battre pour reprendre
pied dans la réalité, ce qui lui est toujours très douloureux. A
l'inverse, la réalité la blesse aussi toujours énormément. Car elle
voit ce que devient le monde, elle le voit et enrage de ne rien pouvoir
faire pour l'aider. Elle est tellement capable d'empathie qu'elle
aimerait soigner le monde, et en même temps elle s'interdit l'une des
rares choses qu'elle pourrait faire pour le rendre meilleur : dénoncer
les mangemorts.

Qualités Principales :

patiente – loyale – ouverte

Défauts principaux :

peureuse – stressée - mélancolique

Peur(s) :

de mourir.... La peur de la mort est ce qui a
toujours mené les gens, et Aslinn ne fait pas exception à la règle,
loin de là. C'est donc sa peur principale, mais Aslinn étant tout sauf
courageuse, elle a également peur d'énormément de choses. On peut se
moquer d'elle en disant qu'elle aurait peur de son ombre, mais il ne
faut pas exagérer. Quoique, si elle forme un angle bizarre contre un
mur, qui sait si elle ne s'enfuirait pas en courant !

Physique

Aslinn.
Son prénom signifie « rêve ». Il a
été particulièrement bien choisi, car elle habite en effet un corps de
rêve. Chaque femme a rêvé au moins une fois de posséder un corps comme
le sien, chaque homme a fantasmé au moins une fois de passer ses mains
sur ce gerne de corps. Un corps rare, magnifique.
55Kg pour 1m76.
Cela paraît peu, et pourtant quand on la voit on se rend compte qu'elle
est tout à fait bien proportionnée. Mince sans être maigre à l'extrême
– coup de chance à la loterie des gènes, elle peut manger à peu près ce
qu'elle veut tout de même -, avec une petite poitrine, certes, mais une
poitrine quand même, une taille très fine et des jambes interminables.
Mais s'il n'y avait que cela ... Alors qu'elle a également une peau
blanche et parfaite. Passés les petits désagréments de l'adolescence
qui ne l'ont d'ailleurs jamais vraiment défigurée, sa peau sur chaque
partie de son corps est semblable à de la soie. Douce, désirable.
Une
partie de son corps qu'Aslinn aime particulièrement ? Ses mains. Des
mains légères, aux longs doigts fins. Des mains de pianiste,
pourrait-on dire. Mais Ais, elle, sait que ce sont des mains de
violoniste.
Quand on décale son regard sur son visage, le premier
mot qui vient à l'esprit est « ange ». Un ange tout droit descendu du
ciel. Ce visage est tout simplement... Parfait. Depuis la courbure de
sa joue, jusqu'à la forme de son nez, en passant par le pulpe de ses
lèvres... Et c'est sans compter ses yeux. Des yeux d'un bleu pur,
limpide comme une source de montagne. Des yeux tout simplement
sublimes. Mais des yeux au fond desquels un observateur très attentif
remarquerait tout de même une ombre... L'ange a frôlé de suffisamment
près l'enfer pour se brûler les ailes.
Son corps, ses mains, son
visage ses yeux et... Ah oui. Ses cheveux. Des cheveux d'or, quoi
d'autre ? Blonds comme les blés, mais avec plus de reflets encore, et
de multiples variations notamment selon les saisons. Et bien entendu,
ils se coiffent exactement comme elle le souhaite... Lissés, bouclés,
lâchés, retenus en un chignon, une queue de cheval, par des barrettes...
Oui,
Aslinn aime changer de coiffure, se maquiller, prendre soin de son
corps, bref passer du temps dans la salle de bain. Et elle aime encore
plus choisir ses vêtements... Normal, tout lui va. Alors son petit
bonheur c'est de parcourir les magasins de Londres pour se dénicher une
tenue originale.

Signe(s) particulier(s)

IV. Informations complémentaires

Composition de la Baguette :

Camps :

Métier :

Don particulier :

V. HJ - Vous

Age :

Niveau en Rp :

Présence /7 :

Personne sur votre avatar:

Code du Réglement :

Comment nous avez-vous connus ?

III. Biographie
Enfance :
Aslinn Tamir Nott naquit en plein coeur de l'hiver, plusieurs semaines avant la date présumée de l'accouchement. Cet hiver là avait été très froid, et ce jour là en particulier avait été marqué par de fortes chutes de neige en Irlande du Nord. Trop pour que Caitlin soit transportée à l'hôpital... Alors Alastrann alla chercher une voisine connue pour avoir déjà vécu ce genre d'expériences, et Aslinn vit le jour dans ce qui serait son foyer pour les onze années qui suivirent. Enfin, vit le jour... Pas immédiatement. Elle garda d'abord les yeux tout comme le nez et la bouche fermés, et on dût recourir à de l'eau froide pour qu'elle pousse enfin son premier cri.
Cette naissance fut - elle un présage ? En tous cas elle précéda une enfance comprenant beaucoup d'allers et retours chez le médecin pour cette fillette à la santé fragile. Mais toutes ses maladies plus ou moins passagères ne l'empêchaient pas de courir la campagne, ou de se balader des heures dans la forêt. Elle eut toujours un lien particulier avec la nature, s'y réfugiant lorsqu'elle n'allait pas bien ou au contraire, contant ses petits bonheurs aux arbres.
Et il y en avait, des petits bonheurs ! En effet, l'enfant était toujours pleine de joie de vivre, ne voyant aucune raison de se plaindre. Sans que la famille fut riche, elle avait toujours de quoi manger et se vêtir correctement. Ses parents l'aimaient, du moins le supposait-elle pour son père, et sa relation avec sa mère était quasiment fusionnelle tellement elles étaient proches. Aslinn aidait Caitlin à faire les taches ménagères, mais ce qu'elle préférait c'était lorsqu'elles faisaient la cuisine pour les deux hommes de la maison. Oui, car la petite famille comportait un autre membre d'une importance sans égal : Gregory. Le grand frère d'Aslinn, de six ans son aîné. Et, en un mot comme en cent, elle l'idolâtrait. S'il disait quelque chose, elle était immédiatement d'accord avec lui, quoiqu'il fasse il avait raison, partout où il voulait bien qu'elle aille elle le suivait.
Et puis un jour, alors qu'il avait quinze ans et qu'elle en avait neuf, quelque chose de terrible se passa. La journée avait pourtant bien commencée : Greg avait décidé d'apprendre à sa soeur comment tenir un fusil. La petite fille n'était pas très à l'aise quand il touchait ces armes, et répugnait à la toucher à son tour, mais elle le suivit tout de même à la lisière de la forêt. Elle l'aurait alors suivit jusqu'au bout du monde. Mais leur mère vint bientôt les gronder, et les évènements s'enchaînèrent alors à une vitesse alarmante, bien que depuis, quand elle revoit la scène, Aslinn la voit image par image, avec une netteté implacable. Son frère qui se retournait brusquement. L'expression de surprise sur son visage. Puis le coup qui partait. Le « pan ! » de la détonation. Sa mère qui reculait de quelques pas, sous le choc, avant de tomber. Puis le fluide écarlate qui se répandit tel une fleur de sang sur son haut blanc. Enfin, elle même qui se précipitait vers l'auteur de ses jours en hurlant, tentant en vain de la réveiller.
Tout ce qui se passe ensuite reste toujours flou, comme dans le brouillard. Mais elle savait quand même ce qui s'était passé. Une ambulance était arrivée, trop tard, bientôt suivie de voitures de policiers qui embarquèrent son frère. Ais ne le regarda même pas partir, son regard ne quittant pas un seul instant le corps sans vie de Caitlin Alienor Nott, ses bras l'étreignant malgré le sang qui tachait désormais aussi ses propres vêtement, et ses yeux déversant un torrent de larmes sur la poitrine maternelle. Elle resta un moment ainsi, sans pouvoir définir s'il s'agissait de secondes, de minutes ou d'heures. Et puis on tenta de lui retirer le corps. Oh, la pression était douce, dite sur un ton censé inspirer la confiance, mais elle ne voulait vraiment pas lacher sa maman. Alors elle ferma les yeux et hurla, et il lui semblait que son hurlement s'entendait jusqu'à la lune. Autour d'elle, il fit alors beaucoup plus chaud... Beaucoup, beaucoup plus chaud. Elle finit par cesser de hurler et ouvrit les yeux pour se retrouver environnée de flammes, qui s'éteignaient peu à peu parce que des hommes en drôles de robes faisaient jaillir de l'eau de leur baguette magique.
Aslinn savait ce qu'étaient des baguettes magiques parce que, même s'ils ne s'en servaient jamais à la maison, sa mère et son frère en possédaient une. Une dame qui en avait une elle aussi vint vers elle pour lui parler, mais la fillette ne retenait que des bribes d'informations. Comme par exemple, que des gens comme eux, des sorciers, allaient aller chercher son frère chez les moldus – mais c'était quoi un moldu ? - et que elle aussi était une sorcière, et qu'ils allaient l'emmener quelque part où elle serait tranquille et...
Trop choquée, l'enfant s'évanouit. Et s'éveilla à Ste Mangouste, section psychiatrie, mais bien loin de l'endroit où était enfermé son frère, quoique qu'elle n'eut jamais posé la question. A vrai dire, elle mit du temps avant de reparler normalement. Plusieurs semaines, elle ne comptait pas exactement. A sa sortie, il y avait une ombre dans son regard, et quelque chose dans son attitude qui avait changé à tout jamais. Mais n'importe quel observateur habituel aurait déduit qu'elle allait mieux après ces semaines de repos, et c'est pour cette raison qu'elle sortit.
Elle reprit donc la vie avec son père, plus grognon et taciturne que jamais, puis Gregory quand il sortit enfin de l'hôpital et qu'il n'était pas à Poudlard. Ele aurait aimé lui en vouloir vraiment et pendant longtemps, mais en était incapable. Quand elle songeait à lui, seule une indicible tristesse l'habitait, et quand elle le voyait, il y avait en elle un élan vers lui qu'elle ne pouvait réfréner. C'était ainsi.
Années passées à Poudlard :
Le jour du départ de la locomotive rouge arriva enfin. Avec quelle impatience elle l'avait attendu, ce jour ! Ses valises étaient prêtes depuis une semaine. Mais bien sur, sur le coup, ce fut difficile de quitter la maison où elle avait toujours vécu et où les souvenirs de sa mère étaient omniprésents. Enfin, elle parvint tout de même à s'en détacher, et monta dans le train à la suite de son frère. Mais elle ne le suivit pas dans son compartiment, ne voulant pas le déranger, et alla voir plus loin pour en trouver un vide, qui ne le fut pas longtemps. Quelques garçons et des filles de première année également la rejoignirent. Ils échangèrent les informations qu'ils possédaient sur le château, et rirent beaucoup. Mais lorsque tout ce petit monde dût monter dans les barques pour traverser le lac, la fillette n'en menait plus large. Une boule s'était formée dans sa gorge, et elle avait mal au ventre. Néanmoins elle réussit à sourire aux autres enfants partageant sa barque. Et cette sensation désagréable s'oublia quand elle arriva en vue du château pour un émerveillement sans pareil. Jamais elle n'aurait imaginé un tel endroit ! Sa bouche s'entrouvrit légèrement, et resta ainsi un long moment avant qu'elle ne pense à la refermer pour ne pas gober de mouche. Puis vint la cérémonie de la répartition. Lorsqu'on lui mit le chapeau sur la tête, il tomba sur la yeux de la fillette, et elle le releva légèrement avec un sourire avant d'attendre le verdict. Quelques secondes plus tard, elle reposait le tabouret à trois pieds et gagnait la table qui serait sienne pour les sept années suivantes.
Années qui, ma foi, se déroulèrent très bien. Bien entendu, il lui fallut plusieurs semaines d'adaptation, et elle se perdit un nombre incalculable de fois durant sa première année. Il y eu notamment une fois dont elle se rappellera sans doute tout sa vie... Décembre de sa première année. Elle devait aller en cours d'Histoire, mais s'était perdue après s'être arrêtée aux toilettes. Elle commençait à franchement paniquer... Sauf que, alors que cela faisait trois fois qu'elle repassait devant le même pan de mur, une porte jaillit brusquement de nul part. Interdite, elle se figea un instant. Puis, mue par une curiosité somme toute bien naturelle, elle posa la main sur la poignée nouvellement formée. Sans penser un seul instant qu'elle pouvait déranger un cours, elle ouvrit et tomba nez à nez avec un jeune homme de serdaigle d'un ou deux ans son ainée en train de faire du violon et qui avait l'air surpris de cette intrusion. Toutefois il fut admirablement gentil avec Aslinn et sortit avec elle lui montrer le chemin. Depuis ce jour, Tommy - le nom du serdaigle - devint en quelque sorte le modèle et le mentor d'Aislinn. Oh, il était bien loin d'égaler son frère, mais elle le voyait si peu au château... Et il allait le quitter bientôt, alors que Tommy resterait avec elle. Et malgré l'attitude que la fillette avait avec les autres, c'était sans doute elle qui avait le plus besoin d'aide et de quelqu'un à qui s'accrocher... Tommy fut cette personne. Non seulement il l'avait aidée ce jour là, mais quand la gamine avait montré un intérêt pour le violon, il lui avait montré quelques bases, et lui avait offert son premier instrument quand elle s'était révélée douée.
Le reste du temps se passa sans autre incident notable. Enfin, concrètement si, il s'en passa énormément, étant donné que dans un établissement scolaire pas un jour ne se passe sans son lot de drames, de fous rires, de crises et de délires plus ou moins importants. Sans compter toutes les histoires de coeur, qu'elles concernent Aslinn de près ou de loin. A ce propos, justement... La jeune fille perdit sa virginité à l'âge de seize ans. Avec Tommy...
Lorsqu'elle était à Poudlard, c'était comme si elle était dans un rêve, une bulle enchantée. Elle faisait ce qu'il fallait pour ne pas être médiatisée, et vivait au jour le jour. Lorsqu'elle en sortait pour les vacances, c'était l'horreur. Son caractère perturbé ressortait, elle pleurait sa mère des jours entiers, hurlait lorsqu'elle entendait parler des abominables actes perpétrés par les mangemorts et pourtant n'arrivait pas à les haïr puisque Gregory en faisait partie, elle le savait. Elle ne pouvait détester son frère. Elle ne le détesta même pas lorsqu'elle apprit la mort de Tommy, qui était un né-moldus. Non, malgré tout, chaque fois qu'elle fixait son ainé brillait dans ses yeux une lueur d'admiration impossible à éteindre.
Biographie Adulte :
Puis elle dû entamer sa vie d'adulte. Elle n'avait pas le choix, il lui fallait bien grandir un jour... Alors elle prit sur elle, s'efforçant de garder une attitude toujours détachée du monde pour ne pas trop souffrir. Et elle s'inscrit dans une école de journalisme... Sans vraiment savoir pourquoi, d'ailleurs. Elle avait juste besoin de faire quelque chose, de s'oublier dans les cours tout en fréquentant toujours pas mal de gens pour se forcer à rester normale. Et finalement, elle aima cela. Elle était forcée de suivre l'actualité de près, et pourtant comme cela restait dans un objectif scolaire réussissait à prendre de la distance, même par rapport aux actes du Lord Noir. La jeune fille... Non, la jeune femme obtint même son diplôme avec mention, puis postula et fut admise dans un journal sorcier pour lequel elle travaille maintenant depuis quelques années. Et elle s'y plait plutôt bien... Petit à petit, elle reconstruit sa vie depuis le petit appartement londonien qu'elle possède. Mais même si en apparence cela va beaucoup mieux, en profondeur elle réalise bien que ce n'est pas encore cela. Mais elle ne désespère pas...
Pour l'aider, en plus de son job, elle a sa famille. Enfin, pas son père, qu'elle ne voit quasiment plus. Pas vraiment son frère, puisque la situation est presque inversée depuis qu'il a été incarcéré puis qu'il s'est échappé. Pas sa belle soeur, car elle est une des rares parsonnes avec qui Aslinn ne s'entend pas vraiment puisqu'elle lui a « volé » son frère et qu'il émane d'elle des ondes étranges, des ondes de danger. Non, pas tous ceux là, mais... Son neveu. Théodore Nott, qu'elle surnomme affectueusement Teddy. C'est tout naturellement que leur relation est apparue, et elle le considère presque comme son propre enfant. Elle aime se balader avec lui en forêt, faire des parties d'échec en sa compagnie, avoir de longues discussions à propos de tout et de rien, lui jouer des morceaux au violon. Il est l'une des choses lui donnant la force d'avancer, de prendre encore sur elle un jour de plus, puis encore un. Et de vivre, finalement.